Un souvenir de Nulle-part

Dimanche nº28

l’été en avance sur son temps

La Neo2 est ressortie de mon tiroir de table de chevet tandis que je me relevais de la lecture de All You Need is Kill dans son adaptation en manga (deux volumes). Cela faisait longtemps, sur mon échelle personnelle, que je n’avais pas réussi à lire une oeuvre de fiction. J’ai lu, Nunc es scribendum.

Survol de la semaine

Un rapide coup d’oeil dans le rétro, me permet de qualifier la semaine d’assez riche. Point médical avec mon généraliste lundi ; de toute ma vie je n’ai jamais eu une tension aussi bonne. Pour être précis, en me basant sur la découverte de mon hypertension, dite essentielle[1], par la médecine du travail au 75 quai d’Orsay, cela fait au moins 20 ans.

Mercredi, aller-retour à Toulouse pour accompagner É. à une courte hospit. de jour, découverte de la place du Capitole par jour de marché et après tout ça, plaisir de la rencontre avec Olivier Saraja avant de reprendre l’A61 vers Narbonne, une tablette graphique sous le bras (enfin dans le coffre).

Jeudi, toujours au chapitre des rencontres et échanges, une heure de Discord avec Julien Taquet à parler du web to print et surtout des outils de composition libres à défaire, refaire ou faire. De nos impressions[2] d’assister à la fin d’un magnifique virage à 360 degrés dans la conception graphique d’un livre initié au début du millénaire.

Week-end hamac, café, dessin et lecture donc.

Côté capy

De nombreux échanges, parmi lesquels ceux avec Julien et Olivier mais pas seulement, ont permis la réalisation suivante. L’activité la mieux à même de mobiliser les différentes cordes de mon arc est, pour résumer, l’assistance informatique à l’organisation d’épreuves sportives. La carte isolée dans le jeu de Sui generis sera-t-elle en fin de compte la carte maîtresse ?

l’invariant

Signalons cette semaine (depuis le jeudi de la semaine précédente pour être exact) du passage pénible du virus qui bien que plus à la mode persiste à être d’actualité.